L'Aurore, enfin 

Leila et Boris s'aiment et sont sur le point de se marier. Ils ont 25 ans.

Entourés de leurs proches, ils battent en brèche leurs dernières hésitations et convolent alors en justes noces. Mais celles-ci se révèlent nettement moins tranquilles que prévu, à commencer par la cérémonie du mariage lui-même à la mairie. Le comique ne tarde pas à faire irruption dans la belle mécanique. Et dès lors tout s'enchaîne : situations cocasses et résurgences du passé alternent jusque tard dans la nuit, entre rires et larmes, entre innocences, encore, et responsabilités, déjà.

Qu'en sera-t-il au matin, alors ?... Et quelles seront les couleurs du nouveau ciel né de ces retrouvailles ? 
 

Beaucoup de personnages de cette pièce étaient déjà présents dans Demain l'Aurore, la première comédie musicale du groupe. Chacun, entre temps, a évolué suivant le fil de sa vie.
Tous se retrouvent alors pour le mariage de deux d’entre eux.

Demain l’Aurore était une pièce sur l’adolescence, L’Aurore, enfin sur l’entrée dans l’âge adulte.
C’est donc aussi une pièce sur le temps qui passe, sur sa puissance, et sur les images qu’il nous renvoie de nous, à la fois constants et transformés.

Une pièce à plusieurs niveaux de lecture, donc, aux dialogues savoureux et où les chansons (tout en nuances) viennent révéler des sentiments bien trop forts pour se dire. Puissante et fragile à la fois. "Suite" d'une certaine manière, et totalement nouvelle d'une autre.
 
Tout à fait perceptible, quoi qu'il en soit, en tant que telle pour qui n'aurait pas vu la première.